L'art vache
Parcours de l’Art Vache… ou l’art contemporain « vachement » accessible !
Unique au monde, évolutif, arty et décalé au possible, le « Parcours de l’Art Vache » permet aux promeneurs d'apprécier les centaines d’œuvres –peintures et sculptures– installées en permanence un peu partout dans le village, entretenues et régulièrement renouvelées par des artistes professionnels et amateurs du monde entier. Une véritable galerie d'art en plein air, pour une vision nouvelle et décalée du ruminant « star » du Grand-Bornand.
Plan du « Parcours de l’Art Vache » disponible auprès de l'Office de tourisme

"La Vache Fontaine", sculpture en résine, réalisée par l'artiste Rémix en 2000.
"La Vache Ferrailleuse", sculpture en métal, réalisée par l'artiste Nikola Martin en 2004.
"Le Veau Dort", fresque murale réalisée par l'artiste Pierre Amoudry en 2015.
"La Vache en BD", fresque murale réalisée par l'artiste Hervé Rey, en 2000.
"La Danse du Jumelage", fresque murale réalisée par le collectif Melting Paint, en 2008.
"Margaret, la Reine de Fer", sculpture en métal, réalisée par l'Association GASPAR, en 2000.
Cette fresque participative de 20 mètres de long représente 50 vaches pour célébrer les 50 ans de la fête l’Alpage au Chinaillon.
Cette sculpture en métal a été imaginée par Michel Pourchet à l'occasion des 30 ans du Festival Au Bonheur des Mômes.
"La Vache aux Yeux Bleus", sculpture galets et ciment, réalisée par l'artiste Rémix en 2002.
"Répression", sculpture en métal, réalisée par Marc Lucchesi, en 2002.
Sculptures sur bois, réalisée par Thierry Thorens en 2005.
"La Vache Technique", sculpture en métal, réalisée par le Lycée Professionnel du Chablais en 2009.
Ces deux sculptures en métal ont été réalisées par Guili-Guili à 22 ans d'écart, la première pour l'exposition "Ils voient des vaches partout" en 2000 et la seconde pour l'exposition "Ils voient des vaches partout, le retour" en 2022.
"Vache Cartoon", sculpture en métal réalisée par l'artiste E. Guili Guili en 2001.
Sculpture sur bois réalisée en une semaine à l'occasion de l'édition 2019 du festival Au Bonheur des Mômes, par l'artiste valdôtain Enrico Massetto