Journée d’observation du Gypaète barbu au col de la Colombière
Lieu : col de la Colombière
Organisateur
Tél : 04 50 02 78 00
Port : 06 28 91 03 05
Lieu
col de la Colombière
Route de la Colombière
Le Grand-Bornand Chinaillon
74450
Le Grand-Bornand
Ne manquez pas une occasion d'observer et de photographier le Gypaète ainsi que de contribuer à l'amélioration des connaissances au sujet de l'espèce.
La Communauté de Communes des Vallées de Thônes et Asters, le conservatoire d’espaces naturels de Haute-Savoie vous invite à participer à cette prospection sur un poste fixe d’observation au col de la Colombière.
Des longues vues et documents seront à votre disposition avec un spécialiste d’Asters pour tout savoir sur le Gypaète barbu.
La méconnaissance profonde du Gypaète barbu et de son mode de vie ainsi qu'un attachement excessif aux mythes et fables a conduit à sa disparition dans les Alpes au début du 20ème siècle. Un vaste programme de réintroduction s’est mis en place depuis une trentaine d’années sur tout l’arc alpin. L’année 1997 offre une grande récompense avec la première reproduction en nature. Deux noyaux principaux forment aujourd’hui la population alpine, l’un dans les Alpes nord occidentales (Savoie, Haute-Savoie, Valais, Val d’Aoste) et les Alpes centrales (Engadin, Stelvio). D’autres couples sont également installés dans les Alpes du Sud et à l’Est en Autriche. Environ 60 couples reproducteurs sont connus et la population est formée d’environ 250 individus dans les Alpes. Au début du programme, seuls les gypaètes nés en captivité et destinés au renforcement de la population par la réintroduction étaient bagués et certaines de leurs plumes des ailes ou de la queue sont décolorées. Ces marques permettent de les identifier jusqu'à l'âge de 2 à 3 ans, âge des premières mues. Depuis 2013, un programme d’équipement des poussins au nid a été initié également avec baguage et équipement de GPS mais sans plumes décolorées.
Contrôler la présence des couples connus sur le département et localiser leur aire de reproduction Repérer de nouveaux couples en installation ; Compter le nombre d’individus minimum sur l’arc alpin, et connaître la répartition par classe d’âge.
C'est à l'automne que vous pourrez observer les parades nuptiales qui se caractérise par des jeux aériens de type vol synchrone, offrande, courbette… C'est à cette époque également que le site est choisi et que le nid est construit dans une cavité ou grotte, toujours dans une falaise. Vous pourrez ainsi observer des transports de branche ou de laine, que ce soit dans le bec ou les serres. Les accouplements interviennent environ 2 mois avant la ponte. Toute observation est intéressante à répertorier, prenez attention à la couleur de la tête, les contrastes de couleur corps/ailes et la présence de mues ou de marques, de bagues. Dans tous les cas, les photos, même de mauvaises qualités, sont intéressantes.
Des longues vues et documents seront à votre disposition avec un spécialiste d’Asters pour tout savoir sur le Gypaète barbu.
La méconnaissance profonde du Gypaète barbu et de son mode de vie ainsi qu'un attachement excessif aux mythes et fables a conduit à sa disparition dans les Alpes au début du 20ème siècle. Un vaste programme de réintroduction s’est mis en place depuis une trentaine d’années sur tout l’arc alpin. L’année 1997 offre une grande récompense avec la première reproduction en nature. Deux noyaux principaux forment aujourd’hui la population alpine, l’un dans les Alpes nord occidentales (Savoie, Haute-Savoie, Valais, Val d’Aoste) et les Alpes centrales (Engadin, Stelvio). D’autres couples sont également installés dans les Alpes du Sud et à l’Est en Autriche. Environ 60 couples reproducteurs sont connus et la population est formée d’environ 250 individus dans les Alpes. Au début du programme, seuls les gypaètes nés en captivité et destinés au renforcement de la population par la réintroduction étaient bagués et certaines de leurs plumes des ailes ou de la queue sont décolorées. Ces marques permettent de les identifier jusqu'à l'âge de 2 à 3 ans, âge des premières mues. Depuis 2013, un programme d’équipement des poussins au nid a été initié également avec baguage et équipement de GPS mais sans plumes décolorées.
Contrôler la présence des couples connus sur le département et localiser leur aire de reproduction Repérer de nouveaux couples en installation ; Compter le nombre d’individus minimum sur l’arc alpin, et connaître la répartition par classe d’âge.
C'est à l'automne que vous pourrez observer les parades nuptiales qui se caractérise par des jeux aériens de type vol synchrone, offrande, courbette… C'est à cette époque également que le site est choisi et que le nid est construit dans une cavité ou grotte, toujours dans une falaise. Vous pourrez ainsi observer des transports de branche ou de laine, que ce soit dans le bec ou les serres. Les accouplements interviennent environ 2 mois avant la ponte. Toute observation est intéressante à répertorier, prenez attention à la couleur de la tête, les contrastes de couleur corps/ailes et la présence de mues ou de marques, de bagues. Dans tous les cas, les photos, même de mauvaises qualités, sont intéressantes.
Longues vues et jumelles vous seront prêtées mais n’hésitez pas à apporter votre propre matériel optique.
Samedi 14 octobre 2023 de 10h à 15h.
Annulé en cas de mauvais temps.
Annulé en cas de mauvais temps.
Localisation
Destination
Route de la Colombière
Le Grand-Bornand Chinaillon
74450
Le Grand-Bornand
Coordonnées GPS
Latitude : 45.98829
Longitude : 6.470845
Garez votre voiture au parking du col, vous nous trouverez après 5 minutes de marche en direction des chalets d'Aufferand.
Tarifs
Gratuit.
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Situé à 1618 m d'altitude et ouvert de juin à octobre, il relie Le Grand-Bornand à la vallée de l'Arve. Point de départ de randonnées, c'est aussi une classique en vélo empruntée de nombreuses fois par le Tour de France.